La prochaine révolution sera-t-elle en 3D?

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La prochaine révolution sera-t-elle en 3D? — Transcription

(La vidéo présente : Dr. Woo Soo Kim; Philip Robbins; Graham Buksa; Eugene Suyu; Logan Mohr; Keith Doyle ; Dr. Konrad Walus; Andrew Campbell; and Unnamed Speaker 1 and 2)

Texte à l'écran : La prochaine révolution sera-t-elle en 3D?

(Augmentation du volume de la musique)

(Images d'impression 3D tout au long de la vidéo)

Dr. Woo Soo Kim (Strechable Devices Laboratory, SFU) à l’écra : L’impression 3D consiste à superposer des couches de matériaux et à les façonner en partant du bas.

Images d'impression 3D

Philip Robbins (Co-Directeur, Material Matters) à l’écran : C’est une technologie basée sur des mouvements allant de haut en bas, de gauche à droite et d’avant en arrière.

Parleur sans nom 1 à l’écran : C’est vraiment une expérience en soi. Il ne s’agit pas seulement de créer un objet.

Parleur sans nom 2 à l’écran : Nous concentrons tous nos efforts pour que l’impression 3D permette de faire ce qui n’a jamais été fait.

Graham Buksa (Chef de la direction générale, Rayne Longboards) à l’écran : Il s’agit de créer un objet à petite échelle, de le construire vraiment bien et de le lancer sur le marché, l’essayer, l’utiliser.

(Images de la planche à roulettes)

Parleur sans nom 1 à l’écran : Ca peut être utilisé à des fins éducatives, pour créer des prototypes, ou simplement pour explorer de nouvelles idées.

Philip Robbins (Co-Directeur, Material Matters) à l’écran : Ce qui est important, ce n’est pas la technologie en soi, ce sont les idées qui alimentent cette technologie.

Texte à l'écran (Multilatéraux) : Quelle sorte de matériaux les imprimantes 3D peuvent-elles découper?

(Augmentation du volume de la musique)

Eugene Suyu (Chef de la direction générale, Tinkerine parleur sans nom 1) à l’écran : On va essayer d’introduire les multi matériaux dans l’environnement de l’impression 3D de bureau. On va étudier les possibilités offertes par la fibre de carbone, le métal, le bois pour que les gens découvrent ce qu’ils peuvent créer à partir de ces différents matériaux.

(Images de la production 3D)

Logan Mohr (Étudiant, Emily Carr University) à l’écran : Voici quelques essais que nous avons fait avec l’imprimante au silicone. On utilise différents matériaux pour trouver la meilleure façon de combiner tissu et silicone. Au début, on avait toutes sortes de tissus techniques et on a découvert que ceux en fibres naturelles, comme le chanvre ou en mélange de coton, retenaient mieux le silicone en raison de la microporosité des fibres du tissu. J’ai imprimé un motif en silicone et ensuite j’ai introduit un filament en cuivre, puis j’ai rajouté une couche finale de silicone. On obtient ainsi un tissu qui offre une rigidité cachée qu’on peut utiliser comme on veut.

Texte à l'écran : Blue Marble Labs a combiné une carte de circuits imprimés avec une forme imprimée en 3D pour créer un dispositif permettant de mesurer la qualité de l’air.

Cliff Edwards (Co-fondateur, Blue Marble Labs) à l’écran avec Keith Doyle : Nous avons élaboré un nouveau dispositif portable de mesure de la qualité de l’air. Cela permet aux gens de savoir à quels niveaux de pollution ils sont exposés durant la journée, où qu’ils soient, en fonction de ces données, ils peuvent modifier leurs activités et les endroits où ils vont. Ce sera un outil important pour les personnes atteintes de maladies pulmonaires chroniques.

(Images de surveillance de la qualité de l'air)

Keith Doyle (Co-Directeur, Material Matters) à l’écran avec Cliff Edwards : Le niveau de complexité que permet la fabrication additive ou l’impression 3D dans le processus itératif de conception est vraiment incroyable. C’est une technologie qui convient parfaitement à ce domaine.

Texte à l'écran : Aspect Biosystems a trouvé le moyen d’imprimer en 3D des cellules et tissus humains pour tester de nouveaux produits pharmaceutiques et éliminer ainsi le besoin de faire des essais sur l’homme et l’animal.

(Augmentation du volume de la musique)

(Images des installations Aspect Biosystems)

Dr. Konrad Walus (Chef de la direction générale, Aspect Biosystems and Parleur sans nom 2) à l’écran : Ce que nous essayons de faire, c’est de permettre à nos clients de minimiser les risques encourus durant les essais cliniques. Cela permet de les rassurer par rapport aux effets possibles d’un médicament et leur donne la possibilité de tester des médicaments qu’ils n’auraient pas pu tester autrement. Nous pouvons modéliser des tissus humains imprimés en 3D pour permettre au point de nouveaux médicaments et nous essayons de créer des modèles plus élaborés qui reproduisent mieux la physiologie des tissus humains. D’un point de vue technologique, Aspect Biosystems est unique en son genre. On a combiné la technologie micro fluidique avec l’impression 3D pour créer un type d’imprimante 3D entièrement nouveau, appelé Lab-on-a-Printer. En l’occurrence, on utilise la tête d’imprimante pour réaliser certaines fonctions de laboratoire, avant même que l’encre biologique ne soit extrudée. Au fur et à mesure des progrès technologiques, nous serons capables d’imprimer des organes entiers. Je pense que d’ici 10 ou 15 ans, ou plus tôt, nous verrons ce genre de choses se concrétiser.

Andrew Campbell (Designer Industriel) à l’écran : Un jour, les gens pourront imprimer chez eux des pièces qu’ils pourront utiliser, comme par exemple des fixations pour réparer leurs skis et ensuite les essayer.

Logo à l’écran :Emily Carr University of Art + Design

(Mot –symbole Canada)

Fin de la transcription